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Investisseurs - un Dossier de la France Agricole

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Investisseurs - un Dossier de la France Agricole

Nouveaux Investisseurs - Le modèle familial bousculé

La France Agricole, dans son numéro du 26 janvier 2018, a publié un excellent dossier sur les Nouveaux Investisseurs en agriculture, un dossier rédigé par Bérengère Lafeuille.


Quatuor Transactions est cité plusieurs fois dans ce dossier. Notre expertise dans les transmissions (nous avons réalisé plus de 380 transactions depuis 2005) est en effet largement reconnue. Quelques extraits, ...

Ces acheteurs venus d’ailleurs

Agriculteurs et investisseurs se partagent les terres, dans un marché rendu opaque par la montée en puissance des formes sociétaires.
Les agriculteurs sont toujours
les premiers acheteurs de
terres agricoles. En 2016, ils
ont obtenu 61 % des surfaces
mises en vente. Les autres ont été
acquises pour moitié par des sociétés
agricoles ou non et, pour l’autre, par
des investisseurs particuliers.
Qui sont ces derniers ? Des gens souvent
proches du milieu rural, observent
les agences immobilières agricoles
Agri-transactions, Horizons et
Quatuor transactions. « Nous sommes
aussi contactés par de grandes fortunes
parisiennes qui ont lu un article
dans une revue patrimoniale, s’amuse
Bernard Charlotin, président de Quatuor
transactions. Mais quand on leur
explique le taux de rentabilité de 2 à
4 %, le peu de liquidité, le statut du fermage…
ils vont voir ailleurs ! »

Les agriculteurs sont toujoursles premiers acheteurs de terres agricoles. En 2016, ils ont obtenu 61 % des surfaces mises en vente. Les autres ont été acquises pour moitié par des sociétés agricoles ou non et, pour l’autre, par des investisseurs particuliers. Qui sont ces derniers ? Des gens souvent proches du milieu rural, observent les agences immobilières agricoles Horizons et Quatuor transactions. « Nous sommes aussi contactés par de grandes fortunes parisiennes qui ont lu un article dans une revue patrimoniale, s’amuse Bernard Charlotin, président de Quatuor Transactions. Mais quand on leur explique le taux de rentabilité de 2 à 4 %, le peu de liquidité, le statut du fermage… ils vont voir ailleurs ! » 

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A propos de prix, la France devrait être un paradis pour les investisseurs étrangers, avec un foncier plus abordable que chez ses voisins. Mais la forte régulation en décourage plus d’un. Si des agences comme Quatuor Transactions ont parmi leurs clients des étrangers, c’est pour « s’installer et travailler avec les entreprises locales, comme n’importe quel agriculteur français ». 

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Du portage foncier au portage de capital

La faible rentabilité de l’activité agricole crée un appel d’air pour les capitaux extérieurs, à condition qu’ils se contentent d’une modeste rémunération.

... « L’acquisition d’un terrain par un investisseur foncier qui s’engage à le louer à notre acheteur va nous permettre d’y installer un jeune là où on aurait peut-être dû faire un agrandissement », illustre Bernard Charlotin, de l’agence Quatuor Transactions. « Mais vu le coût des projets d’installation, les jeunes peinent à réunir assez de fonds propres et les banques ne peuvent pas toujours suivre à 100 %. Les investisseurs fonciers sont une solution mais cela ne suffit pas : on a aussi besoin d’apports en fonds propres. » Cette nécessité se fait déjà sentir dans sa clientèle composée d’exploitations intermédiaires à grandes (valeur moyenne de 850 000 €). « Et comme leur taille ne cesse d’augmenter, les problèmes que nous rencontrons aujourd’hui sont très représentatifs de ceux qui se poseront plus largement demain », prévient-il.

INVESTISSEMENT RISQUÉ

Il dit tout haut ce que beaucoup de banques pensent tout bas. « Le problème ne vient pas seulement des montants phénoménaux mais du rapport entre le niveau d’investissement, donc le risque que l’on prend, et la rentabilité de l’activité, souligne Jacques Folschweiller, au Crédit mutuel Arkéa de Bretagne. Hors agriculture, on a des montants de reprise de PME vingt fois plus élevés mais avec une rentabilité plus forte… » Alors oui, le développement de modes de financement complémentaires pourrait être apprécié.

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Pour lire le dossier sur le site internet de la France Agricole, cliquez ICI

N'hésitez pas à nous consulter si vous souhaitez plus de renseignements ou un accompagnement pour le recours à des investisseurs.